Bienvenue

Bienvenue sur le Blog de Force Ouvrière Pôle Emploi des Pays de la Loire. Date de dernière mise à jour : 8 Septembre 2017.

mercredi 29 février 2012

CET exceptionnel du 14/02/12










La fusion, Episode II !!!
L’Episode I, c’était, comme chacun s’en souvient, les sites mixtes, accouchés dans l’urgence, et, parfois, sans péridurale.
L’objet de la réunion extraordinaire du Comité d’Etablissement du 14 Février, c’était le démarrage « au pas de charge » du processus d’information-consultation, sur l’organisation cible du réseau Pôle Emploi Pays de la Loire : une nouvelle structuration du réseau devrait se mettre en place dans les deux ans à venir, au fur et à mesure des livraisons immobilières.

 

Où va-t-on ?

Dans le 44, il restera 9 Agences sur l’agglomération Nantaise, (dont 2 en « Sud-Loire »), et La Baule fusionnera avec Guérande ; Seules les Agences de Pornic et Clisson ne seront pas relogées.
Dans le 49, 4 Agences sont prévues sur Angers, les deux Agences de Cholet et les deux de Saumur seront regroupées. Une partie de l’activité de Cholet sera transférée vers Beaupréau.
Dans le 53, l’impact devrait être plus faible. Toutefois, les 4 Agences actuelles devront être relogées.
Dans le 72, il ne restera que 3 Agences sur les 5 que compte Le Mans. Seules les Agences de Sablé et Château du Loir ne déménageront pas.
Dans le 85, La Roche « Acti-Sud » et Fontenay-le Comte vont donner naissance à Luçon. Seule La Roche « Acti-Sud » ne déménagera pas.
La taille des Agences de bassin va, du fait de la diminution du nombre de sites, grossir, allant d’une quarantaine d’agents sur le bassin Nantais, à 55 sur le bassin Manceau, les Agences Angevines devant se situer entre les deux.

Les effectifs des Agences annoncés par la Direction, sont ceux sur lesquels ont été basés les projets immobiliers, et correspondent donc à l’effectif-cible de 1949 CDI en Equivalents-Temps-Plein (ETP) au lieu des 2009 au 31 janvier 2012... Il faut noter qu’ils ne prennent pas en compte les changements potentiellement induits par la convention tripartite, qui prévoit que 2000 ETP dans les métiers supports, soient redéployés en direction du réseau. Sujet, d’ailleurs, à propos duquel la Direction n’a aucune précision à apporter aux élus à l’heure actuelle. Pourtant, le train est bel et bien en marche, comme le démontre la chute de l’effectif-cible des Directions Territoriales. L’impact de ce changement sur l’immobilier risque fort d’être lourd, et il paraîtrait opportun d’anticiper, en construisant des Agences adaptées, qui ne soient pas surpeuplées avant même leur ouverture !
La Cgt-Force Ouvrière, s’alarme aussi du fait que le référentiel immobilier « optimisé », comme dit la Direction, et que nous combattons, où les centimètres-carrés sont comptés, ne prévoit que 0,85 poste par Agent. Lorsque les 55 agents d’un site seront présents, ils n’auront que 47 postes à leur disposition pour travailler…Que feront alors les 8 salariés « excédentaires » ?
Les Agences de demain devraient être composées d’équipes de production d’une quinzaine d’Agents. Ces Equipes ne seront pas nécessairement dotées d’un champ d’expertise professionnelle.
Tous les salariés du réseau seront rattachés à une équipe, y compris ceux qui exercent sur les pôles Appui.
Il y aura un référent réglementaire dans chacune des Agences, fonction sur laquelle pourraient se positionner les salariés titulaires du coefficient 250 de base. Leur champ d’intervention comprendra aussi bien les activités de gestion des droits que de placement. Mais n’est ce pas là une anticipation d’une négociation toujours en négociation ?...

Quelles modalités pour les futurs mouvements locaux ?

Les Agents des Bassins de Nantes, Angers, Le Mans, La Roche Acti-Sud/Fontenay-le Comte et La Baule/Guérande seront appelés à se positionner, par une fiche de vœux, sur des mouvements locaux. Ils auront connaissance au préalable des effectifs-cibles des Agences de leur bassin, et de l’organigramme nominatif de chacune d’entre elles. En effet, les nominations des ELD auront été réalisées en préalable, avec tout un dispositif qui va jusqu’à prévoir bilans de compétences, coachings d’équipe et groupes de parole ! Les choses s’annoncent compliquées : les sites de demain seront dotés d’un Directeur Adjoint (à la double condition qu’ils comptent au moins 40 salariés et au moins 3 équipes professionnelles). En-deçà de ces seuils, c’est un REP, qui assumera, en plus de ses fonctions de REP, celles d’Adjoint… Les actuels Adjoints et REPA, « vont devoir se réorienter… »

Le projet présenté par la Direction comporte deux aspects inacceptables :
Le premier c’est qu’il est demandé plus d’efforts aux salariés. Comme si c’était encore possible !!??? Et pourtant, dans le même temps, alors que plus d’un texte ou propos de la Direction flattent collectivement les agents, nous brossent dans le sens du poil, la DG annonce la poursuite du blocage des salaires en 2012. Et comme si cela ne suffisait pas, l’application du déroulement de carrière local (voir nos comptes rendus de DP) est mise à mal. De la part de nos directions, c’est bien mal connaître la Cgt-Force Ouvrière que de penser que nous pourrions laisser courir.

Nous ne lâcherons pas !!!
Le second motif de rejet, c’est que nous constatons que la Direction s’apprête à mettre en place un outil que nous dénonçons avec la plus grande véhémence : le référentiel « optimisé », qui réduit m2 et outils informatiques à la portion congrue. La Cgt-Force Ouvrière n’a pas oublié les engagements pris par la Direction à propos du fameux « bureau dédié ». Dans tous ces nouveaux sites, les conditions de travail des salariés et d’accueil des usagers sont sacrifiées sur l’autel des économies budgétaires, et ce, structurellement. « Dans le dur » comme diraient les maçons, ce serait donc pour des lustres !!!

Parce-que ce projet illustre si bien la politique de restrictions budgétaires qui sacrifie à la fois le pouvoir d’achat et les conditions de travail des salariés de Pôle Emploi, la délégation  Cgt-Force Ouvrière a voté « contre » le projet d’organisation-cible présenté par la Direction.
Au-delà de ce vote, la question qui reste posée : comment répondre à ces agressions  autrement que par la mobilisation massive ?...

Préambule









Cette réunion des DP aura été marquée par une écoute particulièrement « sélective » et « désinvolte » de la Direction, celle-ci cherchant à éluder les questions en usant de reformulations ou de réponses pour le moins inappropriées, quel que soit l’argumentaire développé par les élu(e)s : application du déroulement de carrière =NON ;  application de l’accord portant sur la prise en charge des frais de déplacement = NON ; Droit d’accès à la visite médicale = Ce n’est pas notre faute…

ALORS SOYONS PUGNACES !!!


Les élu(e)s Cgt-Force Ouvrière exigent que les droits des salariés soient respectés et refusent de s’entendre répondre par la Direction : « strict respect des accords, agir sous contrainte »…
Pour la Cgt-Force ouvrière,
SEULE la Direction (DG / DR) a des responsabilités...

TOUTES les responsabilités !

Frais de déplacement










Malgré notre insistance et la pertinence de notre argumentation, la Direction n’en démord pas. Elle souhaite continuer à appliquer la note DG sans discernement. Et tant pis si les salariés de Mamers, Laval, La Ferté ou Château du Loire sont remboursés sur une base largement en deçà de celle de leurs collègues de la Roche ou d’Angers pour venir à Nantes !

Or, l’accord local du 2 juillet 2002 n’a pas été dénoncé, et la CCN en son préambule en garantit la pérennité.
La note DR du 15 décembre 2011 ne peut s’y substituer.
L’appliquer est illégal !

D’autant que cette note, sous couvert de repeindre la façade de Pôle Emploi en « vert environnement » révèle le blues de la grise austérité et, comble du comble, peut conduire à des dérapages incontrôlés (réservation d’une nuit d’hôtel pour arriver à l’heure…). Et tout ça pour appliquer de façon « bête et méchante » une note écrite par nos chers technocrates parisiens. Mais où sont passés les Responsables Régionaux ? Sont-ils relégués au rang de simples exécutants ?

la Cgt-Force Ouvrière n’aura de cesse de se battre pour faire appliquer l’accord afin que tous les salariés soient traités sur un même pied d’égalité,
en allant jusqu’au tribunal, s’il le faut !

AI & Promo








Sur l’application de l’accord de déroulement de carrière, la Direction campe sur son refus d’appliquer l’accord arguant du fait qu’elle s’y conforme strictement.

Le non-octroi d’un coefficient à la première de nos deux réclamations de ce jour, est justifié selon la Direction, par le non-épuisement du délai des 3 ans.

Au regard du rapport transmis avec beaucoup de difficultés par la Direction, le travail du salarié concerné est particulièrement apprécié et souligné par la hiérarchie. Réponse de la Direction : « vous n’avez pas encore atteint la limite du délai autorisé par l’accord ! ». Passez votre chemin !
Réponse technocratique et cynique : « Travaillez, travaillez…vous serez récompensé…plus tard…peut-être ». Camarades encadrants de proximité, vos avis sont pris en compte ! C’est motivant…

L’accord est clair : il s’agit d’un délai à MAXIMA (en gras dans le texte)  et non à MINIMA !!!
Pour la Cgt-Fo, autre argument et non des moindres : comment peut-il est justifié le maintien dans ce coefficient alors qu’en plus tous les autres agents de même niveau de responsabilité dans l’agence, avec la même ancienneté ou presque, sont déjà à un voire deux coefficients au dessus !!!
Quant à la seconde réclamation, les délais eux sont déjà dépassés.

La Cgt-Force Ouvrière a négocié et signé cet accord.
Elle n’aura de cesse de se battre pour le faire
appliquer dans le sens des salariés,
en allant jusqu’au tribunal, s’il le faut !

Par ailleurs, après un échange « musclé », nous obtenons de la Direction la liste des agents ayant expressément demandé à ne pas figurer sur la liste des attributions AI et PROMO. Ce n’est qu’un début !

lundi 6 février 2012

Vous avez dit plan social ?










La Direction a présenté son « Dialogue (!!!) De Performance 2012 », appellation pudique des objectifs qui lui sont assignés cette année.
Après qu’elle ait rappelé, en préambule, ses « valeurs » pour Pôle-Emploi : « simplicité, équité, efficacité », les représentants du personnel se sont vu asséner un exposé dans des termes… plutôt compliqués.
Le vocabulaire totalement technocratique de la Direction est là pour nous positionner dans un autre monde, où le chômage serait de 5 % et les moyens de Pôle Emploi, en adéquation avec ses charges. Pourtant, point n’est besoin d’être grand clerc pour saisir le sens de termes qui pullulent dans cette présentation : "optimiser", "redéployer", "accroître notre efficience"… Tout cela, parce qu’il nous faudrait assumer une "responsabilité sociétale" dont les valeurs nous obligent à…faire plus avec moins !!! Que de grands mots et d’expressions détournées pour tenter de nous faire avaler une énorme couleuvre : nos gouvernants, pour payer des dettes qui ne sont pas les nôtres, ont décidé la baisse des moyens de Pôle Emploi, la baisse des effectifs, et de nous faire suer le burnous encore et encore plus !

Au pays de « Oui-Oui », il est peut-être possible de faire plus (et mieux !) avec moins de moyens. Mais dans Pôle Emploi Pays de la Loire, en 2012, en plein envol du chômage, comment peut-on oser nous expliquer que l’on va « résorber » 80 postes en équivalents temps plein, tout en assurant un meilleur service aux Demandeurs D’emploi et aux Entreprises ?
Pour la Cgt-Force Ouvrière, point n’est besoin d’utiliser un verbiage incompréhensible pour camoufler la réalité ! L’exercice de nos missions exige des moyens humains ! Nous les revendiquons depuis longtemps. D’autres, et non des moindres, en parlent aussi : Christian CHARPY, le Sénat, le Conseil Economique Social et Environnemental (CESE), et même l’Inspection Générale des Finances (IGF), le faisait sous l’égide de notre nouveau DG : Jean BASSERES !

Faudra t’il que nous allions les chercher ?
La Cgt-Force Ouvrière a toujours combattu la diminution des moyens de Pôle Emploi, et a refusé de voter pour la Convention Tripartite en particulier pour ce motif.
En région, nous refusons de voir diminuer les effectifs, et nous combattrons ce « pseudo-dialogue de performance », qui n’est en fait que la traduction de la volonté des Directions de pressurer encore plus les salariés (qu’ils appellent ça optimisation ou efficience…) pour atteindre les objectifs qui ont été assignés au plus haut niveau de l’Etat et même au-delà…
La violence de cette annonce, même s’il n’est pas évoqué de licenciements (il manquerait plus que ça !) mais une "résorption de l’emploi" pose de nouveau la question de la mobilisation pour gagner sur les revendications, surtout quand dans le même temps J. BASSERE confirme en bilatérale nationale que son mandat en terme d’augmentation des salaires, c’est pour 2012 comme pour 2011, 0 % en 3 fois 

Les prestations du CE aux salariés des Pays de la Loire en 2012










Pour ce qui concerne les prestations régionales du Comité d’Etablissement des Pays de la Loire pour 2012, ont été reconduites, à l’identique de l’année 2011 :
  • Evasion vacances                             
  • Sport, loisirs, culture                       
  • Abonnements                                  
  • Sortir                                               
  • Spectacles                                      

Résultat du vote : 13 voix POUR (CGT-FO, CFDT, SNAP, SNU) ; 1 abstention (CGT)

Les fiches de demandes de prestations 2012 seront mises en ligne très prochainement
pour des paiements qui pourront être effectués à partir du mois de mars, suite à la clôture des comptes de l’exercice 2011.
La Cgt-Force Ouvrière se félicite que l’ensemble des collègues puisse continuer à bénéficier du dispositif régional.

Quant aux prestations nationales
  • Enfants de moins de 18 ans           
  • Cadhoc et chèques vacances         
  • Enfant handicapé                               
  • Secours, dons et prêts                    

… elles sont malheureusement supprimées et le nouveau prêt à l’amélioration de l’habitat
de 3000 €, « mort-né », suite au contentieux initié par le SNU contre la CNGASC !
Nous sommes entrés dans une crise dont l’issue paraît bien incertaine pour les salariés de Pôle Emploi. Ne risque-t’on pas en période de disette budgétaire de voir la Direction profiter de l’opportunité d’économiser les 1,3 % de la masse salariale à notre détriment ?

 

Réagir en Responsables !


Nous savions tous que les fondements juridiques de la CNGASC étaient fragiles. Mais tel était le prix à payer, pour qu’il n’y ait pas de collègues « laissés pour compte » dans les régions à faibles moyens.

On peut avoir juridiquement raison mais socialement tort !


A la Cgt-Force Ouvrière, c’est un adage que nous connaissons depuis longtemps. C’est l’une des raisons pour lesquelles, et bien que nous ne l’ayons pas signé, nous n’avons pas esté contre l’accord Senior. Ceux qui l’ont attaqué en justice risquent fort de se retrouver dans la même situation. Notons quand même que ceux là, bien qu’aussi très critiques vis-à-vis de la CNGASC,  n’ont pas cherché à la « tuer »...

Aujourd’hui, la Direction Générale reste très vague sur ses intentions, et on ne sait pas quelle suite elle va donner au jugement de la Cour d’Appel. Va-t-elle se pourvoir en cassation ? Y aura-t-il requête en interprétation ? Y aura-t-il versement des 1,3 % aux CE régionaux, et si oui parce que le pourvoi n’est pas suspensif, quand ?

Le SNU, grand nostalgique de l’ADASA-ANPE (et de ses 2 Assemblées Générales Annuelles d’une semaine en bord de mer, aux frais des collègues !!!) a fait prendre un risque bien lourd de conséquences potentielles, pour chacun d’entre nous !
Il peut gesticuler tant qu’il veut, faire appel à la justice comporte des risques, mais ça se mesure AVANT (Même si ce n’est pas toujours aisé !) !

Le rendu de cette dernière aujourd’hui, non seulement ne satisfait aucune des parties, mais on ne peut que constater que le fondement même du dispositif "1,3%" vient de vaciller. Et ça, le syndicat Cgt-Force Ouvrière le déplore !
Nous nous devons donc, encore une fois, de prendre nos responsabilités pour contribuer à la mise en place d’une solution pour les collègues ! Mais « Chat échaudé craint l’eau froide ! ». Nous nous devons aussi, dans l’intérêt de tous, d’éviter toute précipitation…
Nous avons donc été obligés de refuser, la CFDT et la CGT avec nous, de « bricoler » une solution proposée par le SNU pour les seuls secours (aides sociales d’urgence), tellement bancale qu’elle effrayait même la Direction. Le SNU, qui s’indigne, se scandalise… mais qui en fait dans son naufrage sur cette affaire, perd son sang froid et cherche à s’agripper à tout ce qui dépasse.

Face aux échéances de cette fin d’année, doit-on s’en étonner… ?

Nous avons proposé au CEt une motion intersyndicale (FO-CFDT) qui réaffirme, haut et fort, notre attachement à l’existence d’un système de mutualisation visant à corriger les inégalités entre les différentes régions. Elle a été adoptée à l’unanimité des 14 votants moins 7 abstentions…

samedi 4 février 2012

CHSCT du 24/01/12 :








100.000 Euros pour savoir ce que l'on savait déjà ! 

Ce 24 janvier s’est tenue la dernière séance sur le retour de l’expertise du poste d’accueil dans les agences, enquête diligentée suite à un vote majoritaire des élu(e)s (SNU-CGT-CFDT) du C.H.S.C.T. de Pôle Emploi des Pays de la Loire, au mois d’avril 2011.
Pour mémoire, La Cgt-Force Ouvrière avait alors argumenté son abstention en suggérant l’utilisation des fonds à d’autres fins comme à la remise en place des banques d’accueil, des embauches supplémentaires, voire au respect et à l’application de l’accord local sur le déroulement de carrière des Pays de la Loire !

Le paradoxe du rapport réalisé, même si nous ne remettons pas en cause la qualité du travail produite, est qu’il nous livre des secrets de Polichinelle !
En effet, l’accueil est un point névralgique de l’organisation du travail dans une agence : il est la vitrine de notre établissement et chaque salarié de Pôle Emploi cherche à y rendre le meilleur service possible aux demandeurs d’emploi. Mais nous connaissons sa triste réalité et le manque de moyens et d’organisation dont souffre sa mise en œuvre.
Comme l’affirme l’expert qui a réalisé ce rapport, je cite : « le poste d’accueil est un poste fatiguant, aussi bien sur le plan physique que psychologique. » Vraiment ? Qui l’eut cru ?...
Je cite encore : « Du coup, les collègues ne se précipitent pas pour tenir ce poste. ». Evidemment…
Vécu, ressenti, expérience que les élu(e)s de la Cgt-Force Ouvrière recensent à chaque visite de sites depuis la création de Pôle Emploi !

Le document final, remis en séance, regorge de ces vérités que chacun d’entre nous ne peut nier, compte tenu de sa pratique professionnelle continuelle.
Et il en est du même acabit pour les solutions recommandées : des effectifs supplémentaires, le maintien de la double compétence à l’accueil…soit les revendications réitérées avec véhémence de la Cgt-Force Ouvrière depuis la mise en place du 1er palier des sites mixtes courant 2009 !
Bon, désormais cette expertise est là mais que comptent en faire la Direction et les syndicats qui l’ont diligentée ? Dans la continuité de la séance, la Présidente du CHSCT a tenté d’associer les élu(e)s à une réflexion collégiale sur les recommandations issues de cette enquête.
La Cgt-Force Ouvrière a alors rappelé expressément que non seulement elle s’était abstenue sur le vote de l’expertise mais qu’elle reste surtout opposée à toute forme de cogestion : que chacun prenne et assume ses responsabilités !!!...Sauf qu’à ce jour la Direction n’annonce rien de concret…

Reste, au-delà du principe de l’expertise, son coût et non des moindres…
la bagatelle de presque 100000 €, tout compris !!!
La Cgt-Force Ouvrière s’offusque de cette dépense inconsidérée et comme elle le soulignait en avril dernier aurait préféré voir cette somme consacrée à d’autres efforts…d’autant que la Direction l’a confirmé en séance : le coût de l’expertise est bien imputé sur le budget de fonctionnement régional !!!